Découvrir l'Aïkido.

Discipline méconnue s'il en est, l'Aïkido est pourtant, comme un certain nombre d'autres disciplines sous-médiatisées, bel et bien implanté dans la cité tapissière. Ce qui prouve la grande diversité du tissu associatif local.
Présente depuis plus d'un an, les cours viennent de reprendre, au Dojo de la Maison des Sports René Adenis, et se déroulent le Mercredi en fin d'après-midi.
L'Académie d'Aïkido de la Marche a vu le jour en 2013, fondée par Franck Palassolo Renshi (5ème Dan Dnek), sous l'égide de l'académie autonome d'Aïkido de Kobayashi Hirokasu.

Le Palais Sur Vienne assome Aubusson.

Une semaine après avoir lourdement chuté sur le stabilisé du Vigenal-Bastide, l'EFA recevait le Palais Sur Vienne avec l'ambition de se relancer dans ce championnat débuté de façon prometteuse, tant sur le terrain qu'en terme de résultats.
Las, à nouveau, les aubussonnais auront payé au prix fort leurs largesses défensives, en dépit d'un allant offensif toujours aussi intéressant, pour essuyer un second revers consécutif, mais le premier à domicile cette saison, en encaissant à nouveau quatre buts. Cette performance, si elle ne remet pas en question l'excellent début de saison des tapissiers, interroge néanmoins.

Les aubussonnais battus, mais pas capots.

La rencontre face au CAPO Limoges, véritable épouvantail de la poule s'annonçait rude ; elle fut difficile. Pour autant, les aubussonnais, par moments très en difficultés, n'ont pas à rougir de cette défaite : ils ont plutôt bien résisté, et leur seconde période est encourageante en terme d'intentions. La largesse du score (38-03) traduit certes la belle maîtrise de la mécanique limougeaude, mais ne rend pas compte de la vaillance des tapissiers, qui ont surtout péché par inexpérience, et par crainte d'un adversaire qui venait de passer 78 points à l'extérieur la semaine passée. Et si les coachs aubussonnais sauront tirer profit de cette défaite riche en enseignements, il serait injuste de prétendre que les verts ont pris une leçon de rugby.

Belles performances des archers aubussonnais.

Les archers de "la Dame à la Licorne" étaient récemment engagés (04 et 05 Octobre) dans une compétition qui se tenait dans le Cantal, du côté de Champagnac.
Deux aubussonnais étaient, à cette occasion en lice, dans une épreuve dite de "tir 3D" (Animaux grandeur nature en 3D).
L'occasion pour nos compétiteurs d'éprouver les bonnes sensations ressenties lors des derniers entraînements organisés sous la houlette de Bruno Tarisse.
Bien entendu, rien de comparable, en terme de concentration et de dépense physique, entre les entraînements et la compétition, pour autant, les deux archers aubussonnais ont su tirer leur épingle du jeu.

Le RCA transforme l'essai !

Une semaine après son succès en terre Briviste, le RCA enchaînait avec la réception d'Ambazac, au stade de la Croix Blanche, pour la première rencontre à domicile de la saison.
Un rencontre qui promettait, avec de bonnes conditions atmosphériques, en dépit d'une pointe de vent, et un public local, présent sur le bord de la touche.
Pour autant, les aubussonnais ne s'avançaient pas la fleur au fusil, avec l'absence de trois titulaires habituels, Nicolas Lecuyer et Nicolas Gauthier, qui tous deux pansaient les séquelles de blessures contractées à Brive, alors qu'Alexandre Chevalier, pour sa part, était absent.

La jeunesse au pouvoir.

Quelque chose a changé à l'EFA. Incontestablement, cette équipe est métamorphosée depuis la reprise, se comportant solidairement, faisant preuve d'esprit d'entreprise, évoluant avec enthousiasme et développant un jeu porté vers l'attaque. Il y a des signes qui ne trompent d'ailleurs pas : cette propension a ne jamais fermer le jeu, a évoluer sans calcul, à ne jamais abdiquer, c'est la marque d'une équipe renaissante, à l'état d'esprit sain.
Il n'est pas prétentieux de dire que depuis le début de saison, Aubusson régale sur le terrain et en dehors, qu'Aubusson fait plaisir à son public, et que ce plaisir transpire des joueurs sur la pelouse,.

Sur la bonne voie.

Une semaine après son beau succès à Maisonisses, les pongistes de l'Amicale Laïque, qui ont retrouvé le chemin de la victoire, recevaient leurs voisins de l'Amicale Pongiste de Crocq, pour tenter de confirmer leur dernière bonne performance, devant un adversaire expérimenté, conduit par Maud Sevin, une des meilleurs féminines du département, les aubussonnais, dans la même configuration que la semaine passée n'avaient aucun complexe à nourrir dans ce derby, qui se tenait en la cité tapissière, dans la salle Pierre Pidance, qui par ailleurs, accueillait une petite poignée de spectateurs, curieux de découvrir le tennis de table, et pas mécontents du spectacle offert par les deux équipes, particulièrement par leurs favoris.

Gaillards, ces rugbymen aubussonnais !

Michel Galvaing nous l'avait confié durant la semaine qu'il fallait se méfier de cette équipe de l'ASPO et que ce voyage à Brive, à l'occasion de l'ouverture du championnat était un saut dans l'inconnu.
Il est vrai que cette rencontre avait tout du match piège pour cette reprise, entre une équipe dont on ne savait pas grand chose, et dont on pouvait tout craindre, et des conditions de jeu très particulières, avec pour la première fois pour les aubussonnais, une rencontre à disputer sur un terrain synthétique, ce qui crée de vrais bouleversements notamment sur les appuis dans les courses. Oui, un vrai match piège, autant qu'un test match pour nos rugbymen.

L'EFA a de la moelle !

Quinze jours après leur superbe victoire devant Mérinchal, c'est un autre derby qui attendait les aubussonnais, mais face à un adversaire de tout autre facture, puisque l'EFA s'en allait affronter l'Entente Marchoise dans son fief de la Souterraine.
Une équipe de la Souterraine qui représentait un adversaire redoutable, et un gros test pour les aubussonnais, les sostraniens descendant de division supérieure. L'occasion était belle pour les joueurs de Julien Richin, en confiance, d'étalonner leurs progrès face à une équipe d'un tel calibre.

Les basketteurs s'imposent avec un coeur énorme !

Avec les sportifs aubussonnais, mieux vaut ne pas être cardiaque. Les basketteurs de l'AFB en ont fait la démonstration hier soir, en faisant passer à leur supporters une soirée riche en émotions durant laquelle ces derniers sont assurément passés par tous les états.
Les creusois avaient une revanche à prendre, particulièrement sur eux-même dans cette rencontre qui les opposait au club du Dynamic Basket du Haut Quercy, un club du lot qui ne venait pas à Aubusson en victime expiatoire et qui aurait pu réaliser un vrai hold-up sans une fin de match étourdissante des tapissiers.

Les aubussonnaises en déroute !

Il n'y a pas eu de match hier après-midi sur l'annexe du stade Pakomoff. Plus justement, ce fut un match à sens unique entre des aubussonnaises novices, et encore un peu tendres, et des joueuses de Vallière, plus expérimentées, plus sûres de leurs forces, plus puissantes.
Le score est lourd, sévère, traduit la marge de progression des féminines de l'EFA, qui ont opposé suffisamment d'orgueil et de courage pour que l'on soit tout à fait fier d'elles.
En outre, la largesse du score ne doit pas faire oublier que l'écart aurait pu être bien plus conséquent encore sans une performance de premier ordre de la gardienne de l'EFA, Molly Alexander, qui jusqu'à sa blessure a longtemps retardé l'échéance.

Un retour qui fait du bien !

Il n'y a que l'UFOLEP pour nous offrir des anachronismes aussi saisissants qu'attachants. L'UFOLEP, c'est une devise, une autre idée du sport ; une vision passéiste, d'un autre temps, pour certains. Pour d'autres, dont nous sommes, c'est une vision essentielle.
A Aubusson, cet esprit perdure, et, est véhiculé par l'Amicale Laïque, dont la section tennis de table est un pilier historique.
L'UFOLEP a ceci de formidable qu'elle crée l'égalité entre tous, permettant aux plus petits de pouvoir se mesurer aux "grands", aux villages, de pouvoir tenir tête aux villes.
Ainsi, hier soir en déplacement dans le petit bourg de Maisonisses, Aubusson n'était pas favori du tout.

Judo en Marche : L'art de la réussite.

Un Dojo n'est pas un lieu comme un autre, ni une enceinte sportive comme les autres. Il y règne une atmosphère particulière, quasi religieuse, baignée dans une sérénité et un respect qui transpire dans chaque geste, dans chaque parole.
Cette visite chez les judokas de Judo en Marche est une vraie découverte, pas seulement sportive, spirituelle également, tant ce sport, au delà de la discipline que nous connaissons et regardons, essentiellement durant les Jeux Olympiques, représente pour ses adeptes un art de vivre, qui se cultive également bien au delà des tatamis.